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- Les blasons des communes
- L'utilisation de blasons date de l'époque des croisades autour du
12ème siècle. Les blasons, peints sur les écus et boucliers des
chevaliers, servaient à les identifier. Les seigneurs et la noblesse
marquaient leurs fiefs et villages de leurs blasons. Au fil du temps,
les communes se sont identifiées par leurs propres blasons. Robert
LOUIS et Dominique LACORDE sont depuis 2006 les créateurs de blasons
actualisés, rappelant leur histoire aux communes. En 2022, près de
300 blasons ont ainsi été créés en Meuse par leurs soins, en lien avec
le comité d'héraldique lorrain. Afin de faire connaître cette passion
imagée très encadrée par des normes, une exposition a été ouverte dans
les salons de la préfecture à Bar-le-Duc en décembre 2022. Un diaporama présente cette exposition avec un historique de l'héraldique illustré de nombreux blasons de communes meusiennes.Parmi ces exemples, un autre diaporama présente la construction du blason de Frémeréville-sous-les-Côtes en 2015.
- Explorons
la vie à Commercy et sa région pendant la Révolution française et au
tout début du XIXe siècle, au travers d'un personnage haut en couleurs,
Claude DENIS, Curé de Commercy et révolutionnaire, Franc-Maçon, journaliste, Maire de Commercy mais aussi Sous-Préfet... Il sera même emprisonné par deux fois échappant de peu à une
mise à mort pendant la dure période de la "Terreur". Cet article de Vincent Lacorde (2021) présente ce personnage né à Commercy en 1762 d'un père médecin du Roi
Stanislas, fréquentant la loge de la "Parfaite
Félicité" à Commercy. En complément, un article écrit par un éminent historien meusien, l'abbé André Gaillemin, qui nous décrit, avec son regard d'ecclésiastique, la vie de la loge maçonnique de Sampigny et notamment son soutien par une loge maçonnique prussienne lors de l'occupation de Sampigny par les Prussiens en 1817.
- L'histoire de la garnison de Commercy
- Ce texte de Pierre Briot (2020), nous raconte comment Commercy est
devenue une ville de garnison. Depuis la mort du Roi Stanislas en 1766
le château est devenu quartier Bercheny, caserne abritant des régiments
de cavalerie où hussards et dragons se sont succédés. Une garnison
prussienne y a aussi séjourné pendant la Guerre de 1870, de même que la
wehrmacht en 1940. Cette garnison a aussi rythmé la vie économique de
la ville jusqu'à la dissolution du 8ème RA le 25 juin 2013.
- Le démantèlement du château Stanislas en 1766-1767 -
Dès le décès du roi de Pologne, le château de Commercy est transformé
en caserne. Les dragons d’Autichamp s’y installent en octobre 1767,
remplacés en 1770 par les dragons de Custine et en 1772 par le
Royal-cavalerie. Les jardins et tous leurs aménagements sont détruits.
Des centaines de marronniers et tilleuls sontarrachés. Une recherche de
Jean Paul Streiff qu'il a bien voulu publier sur ce site en 2013.
- Tout le
monde connaît le château dit "Stanislas", mais Commercy avait un
deuxième château, situé entre l'actuelle gare Sncf et l'église : le
deuxième château de Commercy : le château Bas.
- Les
orchidées sauvages du Sud Meusien
(3,5 Mo), diaporama présenté par René Maillard en 2009 à Euville. 40
orchidées sont repértoriées dans le département de la Meuse ; René
Maillard en présente ici 34 qu'il a photographiées et scientifiquement
analysées. Le site Commercy.org maintient la présentation des orchidées que
René maillard avait faite en 2005.
- La
fête du
papegay, une tradition en survivance (1,7 Mo). En 1705, le procureur fait interdire la fête du Papegay à Loxéville car elle "engage a faire des desbauches et ensuite de s'entrebatre et de jurer et blasphemer ce qui fait
du scandal dans un temps qui devroit estre employe au devoir paschal". L'original du document attestant cela a amené une recherche sur les fêtes du papegay, par Vincent Lacorde (2005).
- Les
locaux de la sous
préfecture
de Commercy depuis l'An VIII (1 Mo). La sous-préfecture de Commercy est
créée en 1800. Cette émanation de l'administration centrale sera
abritée dans divers locaux, notamment le prieuré de Breuil avant de
rejoindre ses locaux actuels, texte et recherches de Vincent Lacorde en
2001.
- L'affaire
Lourdechère : en 1726, Jeanne
Lourdechère, 33 ans, aurait
été mise enceinte par un homme marié
nommé Biencourt, à l'auberge du Lion d'or à Commercy. Devant la
justice, elle ouvre une
procèdure pour faire reconnaître l'enfant
à son père en vue d'obtenir une pension pour son
éducation (1,1 Mo).
- Chartes
de la commanderie
des templiers de Marbotte : vers 1150 était
fondée une commanderie de templiers à Marbotte,
près de Mécrin, à 10 km de Commercy.
Il subsiste encore aujourd'hui le bâtiment de la chapelle de
la commanderie, inséré dans un corps de ferme en
exploitation. Cet article réalisé par
Anne-Christelle Matthey (Zurich), présente des chartes
originales du
XIIIe siècle, sur parchemin, rédigées
par le scriptorium de la commanderie, avec leur transcription. Les
originaux sont conservés aux Archives
départementales de la Meuse à Bar-le-Duc. Selon
la devise des templiers : Non
Nobis Domine Non Nobis Sed Nomini Tuo Da Gloriam (11,3 Mo).
- Histoire des
forges du Pays de Commercy
: les forges sont nombreuses autour de Commercy depuis le
début
du XVIIIe siècle en raison des ressources naturelles, bois
et
cours d'eau, qui s'y trouvent en abondance. Si Commercy est aujourd'hui
la cité de la madeleine, son nom fut longtemps aussi
associé au monde industriel avec Commercy-soudure, fabricant
de
postes à souder de haute qualité. Cette
activité,
dont la mémoire est encore vivace, est issue de l'existence
des
forges de Sampigny, Boncourt, Vacon, Vadonville etCommercy dont voici
l'histoire, rédigée par
Pierre Briot, directeur de l'Office de Tourisme de Commercy (2 Mo).
- Les carrières de pierre
de Sorcy-saint-Martin : de nombreuses sources
anciennes parlent de la pierre de Sorcy.
Elle est citée dans les
registres de compte du chapitre épiscopal de Toul pour des travaux à la
cathédrale au XVIè et XVIIè siècles, dans ceux des prémontrés de
Pont-à-Mousson pour des travaux à leur église abbatiale entre 1710 et
1720,
dans ceux du chapitre de Saint-Dié pour des travaux à leur église à la
même
époque...
- La
truffe de Lorraine et de Champagne - Les
régions Lorraine et Champagne-Ardennes sont depuis toujours très
productrices de truffes. L’intérêt pour cette culture fut longtemps
négligé contrairement aux régions comme le Périgord ou la Provence.
Cette thèse, réalisée en 2003, s’appuie sur de nombreux entretiens avec
des trufficulteurs meusiens et marnais, ainsi que sur une recherche
bibliographique approfondie. Les différentes espèces de truffes de
cette région sont présentées de façon scientifique. On y retrouve
l’histoire de la truffe de Lorraine et de Champagne ainsi que les
différentes techniques de récolte (cochon, mouche, marque, cavage au
chien). L’auteur, Clément Marchand, docteur en pharmacie, y décrit
aussi largement les connaissances en matière de culture de la truffe. Récolte
et culture de la truffe (tuber sp.) en Lorraine et en Champagne-Ardennes
(36 Mo), thèse de doctorat en pharmacie, Clément Marchand, 2003.
- L'école normale de Commercy(17
Mo) (à Breuil dans le bâtiment actuellement dénommé "Prieuré de Breuil")
- Installée en septembre 1854 dans les bâtiments du prieuré du
faubourg de Breuil à Commercy, cette école forma les instituteurs
et enseignants du département de la Meuse jusqu'à son transfert à
Bar-le-Duc au lieu dit Pilvitheuil, en janvier 1963. Il s'agit ici de
la
publication du bulletin de l'association des anciens élèves de l'école
normale de Commercy "La voix des anciens" daté du 5 mai 1955. On y
trouve un historique de l'école normale de Commercy puis des
notes rédigées par les directeurs successifs, relatant les événements
qui ont marqué la vie de l'école pendant leurs exercices respectifs, de
1894 à 1954. Ce document inédit apporte des renseignements historiques
méconnus sur cet aspect de l'histoire de Commercy mais aussi du
département de
la Meuse.
Voir les expositions et documents
d'archives en ligne.
Il
s'agit ici de voir des documents provenant des archives communales de
Commercy, principalement les délibérations du conseil municipal de 1723
à l'An IV (1795), un dossier des réquisitions militaires 1816 et 1871.
L'exposition "Commercy, terre militaire" est aussi consultable sur
cette page.
Les inventaires des archives anciennes de Commercy sont
ici : Fonds
consultables aux Archives départementales à Bar-le-Duc, Archives
consultables à la mairie de Commercy : fonds 01,
fonds
02.
La bataille de Lorraine, de septembre 1944 à mars 1945, est l'une des plus méconnues de la Seconde Guerre mondiale. Pourtant elle est l’une des
plus importantes et des plus meurtrières… Ce site présente de nombreuses photos, vidéos, cartes et témoignages : La bataille de Lorraine
Brochures d'intéret historique réalisées par l'Office de Tourisme
- La
promenade Stanislas dans
la ville de Commercy, agencée par le prince de
Vaudémont puis par le roi Stanislas (5,3 Mo).
- The
Stanislas Walk in
Commercy (3,3 Mo, English version)
- L'histoire du château
Stanislas
à Commercy, édifié en 1662 sur l'ancienne forteresse du XIIe siècle,
par le cardinal de Retz, embelli à partir de 1708 par le prince de
Vaudémont, le château devient un véritable palais avec l'arrivée à
Commercy du roi Stanislas, qui en fait le lieu de ses "Plaisirs royaux"
(2 Mo).
- La
forêt de
Commercy, sites remarquables, chasse à l'arc et
raibus (3,4
Mo).
- La
madeleine, de la table
de Stanislas à nos tables d'aujourd'hui (3,9 Mo).
- Ecole de
Nancy au Pays de Commercy,
le Pays de Commercy abrite de nombreuses créations issues
du mouvement "Art Nouveau". Les artistes de l'Ecole de Nancy,
Prouvé, Vallin, Gutton, Champigneules, etc, inspirés par
les formes de la nature, ont donc marqué le paysage Commercien
et nous ont laissé des oeuvres qui peuvent aujourd'hui être
visitées (0,6 Mo).
Vie associative locale
Etienne
Payeur
Dans
notre région rurale de
Commercy, il existe un patrimoine fort méconnu :
les croix et
calvaires, qui méritent
pourtant toute notre considération. Depuis quelques années, Etienne
Payeur, en se
baladant par monts et par vaux, s'est lancé dans une grande
aventure qu'il souhaite partager : recenser ces croix, rechercher leur
histoire et mieux encore : tenter de les restaurer.
Alain Fisnot
Auteur de romans historiques basés sur l'histoire du
département de la Meuse :
voir son site et ses ouvrages
Le quartier de l'Awa à Commercy, la légende dit qu'il fut
habité par des sorcières, Alain Fisnot nous en relate une histoire...
Francis George à
vertuzey
Sculpteur sur
bois, occasionnellement sur pierre d'Euville, fabricant de madeleines
artistiques en bois de
mirabellier, cerisier... tout le terroir du Pays de Commercy : voir
son site et ses oeuvres
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